Présentation

JE RECHERCHE UN MAITRE

46 ans, 1m73, 71 Kg, sportif, BCBG, en couple hétéro. Brun, yeux noisettes, épilé intégral.

 

Je suis surtout, une petite lopette totalement soumise et aimant être traitée comme une chienne. Je souhaite aujourd'hui assumer totalement cet aspect de ma personnalité  quelqu'en puissent être les conséquences futures. Je recherche donc un MAITRE d'age et physique indifférent, vivant a SAINTES (17) ou alentours pour une soumission et appartenance totale et absolue dans une relation suivie.

 

Je recherche un MAITRE qui fera de moi SA CHOSE, par une prise en main totale, ferme, et sans aucune concession.

J'offre mon âme et mon corps à mon futur Maitre qui pourra me déshumaniser, me féminiser et faire de moi ce qu'il voudra sans limite,qui pourra faire de moi un vrai vide couilles et sac a foutre. Je serais votre chose,votre jouet,votre objet sexuel,votre souffre douleur et défouloir,vos chiottes,votre pute et plus suivant vos envie

 

Je recherche donc un MAITRE très autoritaire, terriblement pervers, particulièrement imaginatif, très sévère et très vicieux,sans aucuns tabous et sans aucuns scrupules ni d'États d'âme, n'hésitant pas non seulement a utiliser la force et la contrainte mais aussi aimant et prenant du plaisir a le faire car je ne veux surtout pas de douceur et de tendresse.

 

J'accepte d'être humilié, souillé, insulté, avili. J'accepte de subir, d'être marqué, d'être traité comme une tepu, dêtre utilisé comme WC, d'avoir ma chatte dilatéee à l'extrème. d'être mis à l'abattage, être pris de force et à tout prendre dans mes trous.

Je suis décidé et motivé pour devenir un batard, une truie, une sous race.

 

* Pour toutes les personnes sur SAINTES (17) et environ, vous pouvez me joindre par mail si vous recherchez un vide couille disponible. Je mettrais  mes trous à votre disposition.

 

* Toutes les personnes désirant participer à mon humiliation peuvent m’envoyer leurs ordres sur le site ou par mail. Je posterais les photos ou vidéos correspondantes.

 

Me joindre par mail : alain1208 (at) live.fr

Histoires SM gay

Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 07:54
Mon maître m'a or­donné de me vêtir avec élégance, J'ai mis mes dessous les plus sexys, de soie noire et de dentelles des bas fins et des escarpins aux talons démesurés.  Après avoir peigné avec soin ma longue che­velure blonde, je me suis maquillé.  Quand il est venu voir si j'étais prêt, je l'atten­dais, assis sagement sur le bord du lit. Il m'a demandé de me retourner et m'a placé sur les yeux un bandeau épais.  Puis il a attaché une laisse au collier de cuir clouté, qui ne me quitte pas. Ensuite il m’a tiré comme si j'étais une chienne et j'ai trébuché, me suis heurté au rebord de la porte, ai eu des difficultés à grimper dans la Jaguar. Nous avons roulé silencieuse­ment, traversant une bonne partie de la ca­pitale.  Le moteur s'est arrêté.  De nouveau il m'a fait descendre, monter trois marches, Une porte s'est ouver­te et j'ai été traîné dans une salle qui m’a parue vaste et au milieu d'une assem­blée assez nombreuse. J'ai entendu rire, des hommes et des femmes.  Une main s'est plaquée contre mes fesses.  Un doigt suivi ma raie et pointa mon petit trou au travers de l'étoffe soyeuse.  Plus tard une autre main, ce devait être celle d’une femme, car elle était douce et chargée de bagues, s'est glissée sous ma robe et a longuement caressé mes cuisses au dessus des bas.  J'ai fris­sonné et cela encore les a fait rire. Mon Dieu, ai-je pensé, comment le Maître auquel j'appartiens peut-il laisser faire cela ? J'ai réalisé alors qu'il m'avait amené là lui-même, et certainement en conaissance de cause.  Il ne fait rien sans calcul.

J'ai senti avec un mouvement d'horreur qu'on m'ôtait ma jupe.  Des mains retiraient ma culotte.

- N'a-t-il pas un cul magnifique?

C'était sa voix à lui.

- Dommage que ce soit une fiotte a dit une voix anonyme.

- Vous ne savez pas ce qui est bon.  Son cul est comme l'enfer (toujours la voix de mon maitre qui faisait l'article pour mes aptitudes.)

Quelqu'un a saisi ma bite.  Une main de femme, Les femmes sont toutes curieuses de ces choses.  Elle a pressé mes couilles et branlotté ma petite pine. Aussitôt celle-ci a participé à mon hu­miliation en se dres­sant comme une ba­guette de tambour, La main ne m'a pas lâ­ché, mais d'autres mains plus rudes m'ont contraint à me pencher vers l'avant jusqu'à ce que mes mains touchent l'épaisse moquette, et que je m'y appuie instinctivement afin de ne point basculer en avant, Un doigt a tou­ché ma rosette que le mouvement écarquillait, s'est enfoncé dans mon rec­tum comme du beur­re. La femme certai­nement couchée sous moi continuait de me branler.  Puis, au mo­ment où la queue d'un mâle a poussé au centre de mon anus, et que la grosse bite a commencé de m'envahir, des lèvres ont pris la place des doigts autour de ma pine.  Tout à coup j'ai été bien, malgré mon humiliation ou à cau­se d'elle le cul empli, comblé, ma biroute baignant dans une salive onctueuse.  J'ai commencé de jouir et cela a fait taire les rires des spectateurs.  Avec une certaine an­goisse, je me deman­dais où se tenait mon maitre, si c'était lui qui me sodomisait ou un inconnu?  Le premier homme a déchargé dans mes reins alors que je connaissais un orgasme dont la bouche pompeuse as­pirait et avalait le jaillissement crémeux.  Déjà une autre bite prenait dans mon cul la place de la premiè­re. Il y en eut au moins six, Après je cessai de compter.

Puis je fus cruelle­ment fouetté, sur mon cul coupable d'avoir absorbé toutes ces queues. Mais je sa­vais qui me flagellait avec une violence ra­geuse. Mon Maître me punissait par où j'avais péché.

Par little bear - Publié dans : Histoires SM gay
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 15:32
Et entre hommes ...

Il se nomme Dominique, je l'appelle Domi. Toujours vêtu en femme, il montre, quand il est nu, un corps mince et souple que plus d'une jolie femme lui envierait.La ressemblance est d'autant plus frappante qu'ils se bourre d'hormones après une opération esthètique de la poitrine à laquelle il doit des seins adorables, en forme de pis de chèvre. Cela se gâte quand il quitte son slip. Sa
quéquette est petite mais elle existe, et les deux balloches qui pendent en dessous sont aussi délicates et dures que des prunes.
Loin de me gêner ce melange des sexes me plait beaucoup. Combiende maîtres disposent à la fois d'esclaves appartenant aux deux sexes, en une seule personne.
Domi est très amoureux de moi, et adorablement soumis. J'ai fait sa connaissance par une petite annonce et, lorsqu'il s'est trouvé devant moi, j'avoue que la première surprise passée, au moment
où il a, sur mon ordre, soulevé sa robe, j'ai vu tout le parti que je pouvais tirer d'un esclave aussi particulier.
Je le fais agenouiller souvent. C'est une manie chez moi. Je fixe le mousqueton de la laisse à l'anneau du collier de cuir qu'il porte constamment. C'est son seul bijou. J'attends des heures parfois, l'abandonnant pour aller faire des courses ou rencontrer des amis.
Lorsque je le prends en main, il a des crampes aux cuisses et les genoux douloureux. Tirant sur la laisse, je le fais mettre debout et l'attache, crucifié sur deux madriers que j'ai disposé en croix au fond de la salle de séjour. Alors commence une longue scéance de dressage destinée à remettre son sang en mouvement.
Le martinet d'abord, sur les seins, la bite et les couilles. Il se tord adorablement sous les cinglées, en poussant des plaintes de plus en plus graves haletant. Quand il commence à m'ennuyer, je lui met un bâillon. En général, un de mes vieux slips tenu en place par un bas de soie. Il adore l'un et l'autre. Quand je sens Domi à bout je pose sur chacun de ses tétons une pince.
Au début, j'utilisais des pinces à linge, mais leur poinçon trop doux ne me donnait pas de satisfaction. J'emploie désormais des pinces métalliques aux machoires dentellées, dont je prends soin de limer les dents car les ressorts sont si forts qu'ils mordraient les bouts jusqu'au sang, et je déteste qu'on fasse couler le sang.
Qu'il est beau mon (ma) Domi quand les pinces commencent à produire leur effet, que son visage se crispe; que la bave coule sous son baîllon et que ses paupières de soie se closent sous l'empire de la souffrance.
Parfois, je tire sur les pinces et leur imprime un mouvement de torsion et il tremble de tout le corps. Alors je m'attaque à ses testicules que je presse et tord comme je viens de faire pour les seins. J'y vais plus fort car cela m'excite de sentir ses gobilles chaudes, pleines de sperme dans mes mains. La réaction ne se fait pas attendre : Domi se met à bander. Je prends ma cravache cette fois. Je frappe avec lenteur, ajustant bien mes coups, après avoir retourné mon esclave, de façon à ce qu'il offre à la flagellation ses jolies fesses rondes et le haut de ses cuisses, là où
c'est le plus tendre et où le cuir marque le plus profondément.
A ce régime qui le fait sauter et sursauter sur le bois dur, Domi ne tarde pas à entrer en transe et à décharger contre son engin de supplice. Naturellement, cette scéance m'a terriblement excité. Je le détache et lui ordonne de se mettre à quatre pattes, l'offrant ainsi en une attitude provocante de femelle, ses fesses séparées par une fente profonde. Je le sodomise avec volupté. Comme je suis beaucoup trop gros pour son petit fion, à chaque coup je le fais crier.
Une seule chose m'ennuie, que je trouve injuste : Domi adore qu'on l'encule et quand je me vide dans ses intestins, il connaît un orgasme pareil à celui de la femme baisée. Je lui fais payer cette faiblesse de ma part. J'exige une flagellation et, au moment où je décharge, je punis Domi en lui retirant ma bite. Frusté de mon sperme qu'il espérait déguster, il pleure.
Par little bear - Publié dans : Histoires SM gay
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