Présentation

JE RECHERCHE UN MAITRE

46 ans, 1m73, 71 Kg, sportif, BCBG, en couple hétéro. Brun, yeux noisettes, épilé intégral.

 

Je suis surtout, une petite lopette totalement soumise et aimant être traitée comme une chienne. Je souhaite aujourd'hui assumer totalement cet aspect de ma personnalité  quelqu'en puissent être les conséquences futures. Je recherche donc un MAITRE d'age et physique indifférent, vivant a SAINTES (17) ou alentours pour une soumission et appartenance totale et absolue dans une relation suivie.

 

Je recherche un MAITRE qui fera de moi SA CHOSE, par une prise en main totale, ferme, et sans aucune concession.

J'offre mon âme et mon corps à mon futur Maitre qui pourra me déshumaniser, me féminiser et faire de moi ce qu'il voudra sans limite,qui pourra faire de moi un vrai vide couilles et sac a foutre. Je serais votre chose,votre jouet,votre objet sexuel,votre souffre douleur et défouloir,vos chiottes,votre pute et plus suivant vos envie

 

Je recherche donc un MAITRE très autoritaire, terriblement pervers, particulièrement imaginatif, très sévère et très vicieux,sans aucuns tabous et sans aucuns scrupules ni d'États d'âme, n'hésitant pas non seulement a utiliser la force et la contrainte mais aussi aimant et prenant du plaisir a le faire car je ne veux surtout pas de douceur et de tendresse.

 

J'accepte d'être humilié, souillé, insulté, avili. J'accepte de subir, d'être marqué, d'être traité comme une tepu, dêtre utilisé comme WC, d'avoir ma chatte dilatéee à l'extrème. d'être mis à l'abattage, être pris de force et à tout prendre dans mes trous.

Je suis décidé et motivé pour devenir un batard, une truie, une sous race.

 

* Pour toutes les personnes sur SAINTES (17) et environ, vous pouvez me joindre par mail si vous recherchez un vide couille disponible. Je mettrais  mes trous à votre disposition.

 

* Toutes les personnes désirant participer à mon humiliation peuvent m’envoyer leurs ordres sur le site ou par mail. Je posterais les photos ou vidéos correspondantes.

 

Me joindre par mail : alain1208 (at) live.fr

Vendredi 7 décembre 5 07 /12 /Déc 07:16

Bonjour, j'ai 38 ans, je me nomme Pierre et je suis un esclave depuis près de dix ans. 

J'avais toujours fantasmé sur la soumission à une femme.  J'avais, comme beaucoup de jeunes mâles, eu plusieurs aventures de jeunesse.  Jamais je n'avais osé avouer à mes compagnes mes fantasmes.  Aussi, après quelques semaines de vie commune, je reprenais toujours ma vie solitaire, préférant la masturbation en lisant des revues de domination achetées en sex-shop.

 

Je possède un petit magasin de vêtements prêts à porter. Je recherchais, il y a environ dix ans, une jolie vendeuse.  Cathy se présente un matin.  Je fus tout de suite sous le charme de cette belle fille aux yeux verts, élancée, l'air très 'femme', qui avait l'air de savoir ce qu'elle voulait ! La vendeuse, bien sûr, devint vite la patronne, Cathy était autoritaire et je lui avouais, sans cacher mes sentiments pour elle, tous mes fantasmes les plus cachés ! En quelques mois je passais au stade du larbin, puis à celui de l’esclave intime.  Nous avions tous deux trouvé le grand bonheur. Tout ce que je possédais est depuis à Cathy, que je n'appelle plus que 'Maitresse' ou 'Maîtresse chérie".

 

Je suis devenu employé du magasin.  Celle-ci possède aussi l'appartement situé au-dessus, dans lequel mon rôle est celui d'esclave.  Maîtresse me cloitre ainsi au magasin et à l'appartement, ne me permettant de sortir que pour faire les courses, ou faire le chauffeur si elle sort.  Si elle va chez un amant par exemple, je peux quelques fois l'attendre des heures dans la voiture.

 

Maîtresse bien sûr, ne travaille plus et passe son temps entre ses nombreux loisirs (piscine, équitation, cinéma), ses copines et ses amants.

 

Je vais vous décrire la vie que Maîtresse me fait mener depuis près d'une décennie.

 

Tout d'abord, précisons qu'aucun contrat écrit nous lie.  Mais nous ne saurions plus ni l'un ni l'autre vivre autrement.  Maitresse a tous les droits sans aucune exception.  L'esclave n’a que le devoir de satisfaire son rnaitre tant matérielle­ment que sexuellement.  Il doit précéder sa Maîtresse dans tout désir, devinant à l'avance ce qu'elle va lui demander.  L'esclave travaille donc à cent pour cent pour ses Maîtres.

 

A la maison, il doit faire toutes les corvées domestiques.  Maitresse m'a d'ailleurs fait suivre, dès le début, des cours ménagers et des cours de cuisine.  Soumis, je n'ai plus le droit à aucune gaterie : alcool, vin, tabac sucreries ou petits plats me sont désormais interdits.  L'esclave ne peut avoir du temps libre pour trainer.  Il doit toujours s'occuper aux corvées ou au bien-être des Maîtres.  De même, je suis frustré sexuellement.  Maîtresse m'interdit toute caresse sans son ordre.

 

Depuis plus de six ans, je n'ai plus eu le droit de lui faire l'amour.  En effet, Maitresse pense, à juste titre, qu’un esclave très frustré sera d'autant plus amoureux et servile et qu'une Maîtresse ne doit se faire pénétrer que par un homme de sa classe : un dominant.  Seule la masturbation m’est accordée, mais pas systhématiquement et pas chaque soir.  Maîtresse adore me laisser 'mijoter', fou de désir, durant quelques fois plusieurs jours.

 

Décrivons une journée d'esclave.  Le matin, je vais préparer le petit déjeuner.  Je réveille doucement Maitresse (qui peut être au lit avec un amant ou une amie intime).  Je présente, à genoux, nu comme toujours, le plateau que je tiens, pendant que Maîtresse mange.  Parfois, Maîtresse me fait allonger sur le dos dans le lit et s'assoie sur mon visage.  Elle se sert alors de mon ventre comme plateau.  Elle s'amuse dans ce cas à griffer me queue raide, à poser le bol de chocolat brûlant sur mes testicules, etc... Inutile de vous dire que c'est pour moi le bonheur quand je suis enfouis entre ses fesses, dans ses senteurs de la nuit.

 

Ensuite, je vais travailler au magasin. Elle peut me faire porter sous mon pantalon un gode-ceinture dont elle gardera la petite clé ! Je signale ici, qu'à la maison aussi Maîtresse peut me faire porter le gode.  Ceci est très humi­liant devant les invités et spécialement devant les femmes !  C'est, je pense, une des humiliations suprêmes pour un mâle.

 

Entre midi et deux heures, le magasin reste ouvert. Je mange un sandwich dans l'arrière boutique.  Maîtresse, la plupart du temps, partie depuis la fin de la matinée, ne rentrera que le soir.  Bien sûr, si Maîtresse est dans l'appartement à midi, je ferme alors le magasin et je monte la servir.

 

Le soir, après la fermeture, jevais à pieds faire les courses sans avoir le droit de m'attarder.  Je reviens dans I'appartemment, je me remets en tenue d'esclave, c'est à dire totale­ment nu, et je prépare le diner.  Maitresse rentre, je me jette à ses pieds, les lui embrasse et la déchausse. Je déshabille avec douceur Maîtresse, lui faisant couler un bon bain chaud.  Avant d'entrer dans l'eau, Maitresse aime se faire lécher sa fente merveilleuse.  Je lui butine l'anus, je lave avec amour ce beau sexe, j'enlève les traces de sueur, je suis heureux.  Bien léchée, voici Maîtresse dans son bain moussant, elle peut lire longuement, Je reste à genoux à attendre ses ordres, à lui couler une nouvelle eau très chaude... Puis je savonne, rince et sèche Madame.  Maîtresse enfile pour la soirée un large sweet, laissant son minou et ses jolies fesses à l'air.  Pendant qu’elle sirote l'apéritif au salon, je termine de préparer le repas. Je sers celui-ci à genoux, Maîtresse aime vider ses petits restes, gras, peau de fruits, pépins, etc... dans ma bouche.  Quand des invités sont là, c'est le même cérémonial.  Je suis très stylé, choissant de bons vins pour mes Maîtres (vins auxquels je ne gouterai jamais !).

 

Quand les amies sont présentes au repas, il n'est pas rare qu'à quatre pattes sous la table, je lèche à tour de rôle ces dames ! Après la vaisselle, je rejoins Maîtresse au salon.  Je peux alors lui servir de pouf, de dessus de canapé ou être simplement allongé par terre à ses pieds, comme un bon chien.

 

Si Maîtresse a ce soir-là un amant avec elle sur le canapé, il n'est pas rare que ce soit le moment pour moi de lui faire une fellation correcte.

 

En effet, les amants ne se privent pas de m'utiliser sexuellement.  Sous les rires de Maîtresse, je peux être durement sodomisé et ressodomisé toute la soirée.

 

Si des femmes sont présentes, c'est terriblement humi­liant d'être possédé devant elles !

 

Je dois bien sûr, durant ces soirées, continuer à servir digestifs, champagne, etc...

 

Maitresse va ensuite se coucher.  Si elle est seule, Je la rejoins au lit et je la lèche longuement.. Je dois lui masser les seins, les cuisses, le ventre avec dextérité et amour, tout ceci pour la détendre. En la léchant, Maîtresse arrive souvent à l'orgasme.  C'est pour moi le plus grand des bonheurs que de voir par ma langue, son joli ventre onduler, écouter ses râles, voir ses paupières closes !

 

Ensuite, après un dernier baiser sur ses pieds, je me couche à mon tour.  Mais moi, c’est par terre, sur la moquette, près d'elle, que je m'allonge.  Si ce soir-là Maîtresse couche avec une amie intime, je lèche les deux femmes.  Je précise que Maîtresse a deux amies intimes : Martine et Caroline.  Chacune des trois femmes à sa propre odeur sexuelle, sa pilosité, ses rondeurs personnelles, etc... Je sais reconnaitre le goût de chaque sexe.  Chaque anus a de même ses saveurs.  Autant Maitresse a peu de poils, autant Martine cache ses attraits dans une forêt noire, drue et étendue de jolis poils.

 

Si Maîtresse a son amant ce soir là , je n'ai droit à rien. Elle se réserve entièrement à lui ! Etendu au pied du lit, je les entends jouir et rejouir dans les bras l'un de l'autre.  Quel bonheur quand j'entends Maîtresse qui crie de plaisir, pénétrée par son amant, quand le lit grince de toutes parts, quand elle en redemande.  Et moi, allongé à leurs pieds, je n’ai même pas le simple droit de me masturber.  Mon sexe est raide depuis des heures et je ne peux me satisfaire.

 

En effet, plus Maitresse jouit, moins j'en ai la possibilité. Le désir est si grand qu'il m'arrive de demander d'être ligotté pour m'empécher de me masturber.  Je passe alors la nuit attachée serré, engodé et le slip de Maitresse sur le museau.  Maitresse aime alors jouir bruyamment pour m'humilier encore plus.  Inutile de vous dire que ces nuits-là je ne ferme pas beaucoup l'oeil !

 

Mon rêve est de pouvoir pénétrer un jour de nouveau Maitresse.  En effet, nous faisions l'amour au début de nos relations.  Pensez que ce sexe de femme, je le cottoie à quelques milimètres quand je le lèche, quand je le nettoie et que je n'ai plus le droit d'y mettre ma queue !

 

Je rêve aussi de me faire faire une fellation.  Cela aussi m’est interdit.  Devant moi, Maîtresse fait de bonnes 'pipes' à son amant, avalant le sperme, grignotant la queue, la suçant.  Quand elle le fait, elle adore dire: «Ca, c’est réservé aux Maitres ! ». En fait, un des grands plaisirs de l'esclave est de se sentir vraiment esclave.

 

Depuis trois ans, nos relations de domination ont encore évoluées.  Maîtresse (et ses amies) ne se servent plus de papier WC à la maison.  Une langue d'esclave peut essuyer délicatement des poils et une fente mouillée ou enlever toute souillure d'un bel anus ! Ainsi, après chaque passage d'une femme aux toilettes, j'arrive.  Je tiens à dire que les femmes adorent se faire toucher par une langue servile.  De plus, Maitresse aime s'accroupir au-dessus de ma bouche et se libérer totalement en moi.  C'est un bouillon de luxe pour un esclave.  Maîtresse s'amuse aussi à me faire avaler des choses plus consistantes. « C'est pour bien te rappeler ton rôle » me dit-elle en poussant.  C'est la communion suprême entre Maître et esclave.

 

Maintenant, il n'est pas rare que Maîtresse s'accroupisse au-dessus de ma gamelle pour donner un peu plus de goùt aux restes de nourriture.

 

Quand Martine et Caroline passent une journée (ou une nuit) à la maison, il arrive qu'elles m'humilient ainsi toutes les unes après les autres.  Après, je dois aller me laver dans la salle d'eau que Maitresse a fait construire à mon intention.  En effet, Ia maison étant domaine de Maitre, je n'ai qu'une douche, un lavabo et un WC sommairement aména­gé, en bas, dans l'arrière boutique.

 

Parlons maintenant des punitions.  Maitresse me punit très souvent non pour des fautes, mais par simple plaisir.  La première punition est le martinet. Plusieurs fois par semaine, une séance me fait rougir le cul.  C'est immanquable si Martine ou Caroline sont là. Quand plusieurs femmes sont ensemble, cela décuple leur envies ! A la belle saison, c’est avec des orties que je dois confectionner un fouet!  Les pinces à linge me sont appliquées sur les testicules assez souvent.  Là encore, quel plaisir ont les femmes de me voir faire le service avec dix ou quinze pinces accrochées aux testicules.  Le gode, comme je l'ai dit, m’est aussi souvent imposé.

 

Maitresse aime aussi me ligoter dans diverses positions, toutes plus humiliantes les unes que les autres. Maitresse m’attache en chandelle, les jambes ramenées derrière la tête, le cul en l'air.  Elle aime m'enfoncer alors une bougie allumée et à la lueur de son chandelier, elle baise avec son amant ! Je passe des nuits attaché, la tête dans la cuvette des WC, les mains ligotées par derrière, à genoux.  Pendant que Maîtresse dors confortablement dans les bras de son amant, je respire les odeurs, là encore humilié... et heureux !

 

La punition la plus fréquente est 'le placard'. Maitresse m’enferme dans un placard qu’elle a fait aménager. Deux bracelets au mur, m’immobilisent en position accroupie. Maitresse m’envoie au placard des heures, sinon des jours entiers. Elle m’y envoie quand, par exemple elle recoit un amant, ou des amis ignorant mon existence. Elle se dit alors seule à la maison.  Elle peut m'y envoyer aussi quand elle n’a plus besoin de mes services, pour m’oublier un peu, ou bien juste pour son plaisir. J’y passe des dimanches entiers quand celle-ci part avec un amant. Elle m’y a laissé plusieurs fois un week-end entier, du samedi matin au dimanche soir.

 

Dans le noir, courbaturé, immobile, souvent engodé, j'attends le retour d'une Maîtresse merveilleuse.  Alors que Maîtresse s'amuse, se promène, fait l'amour, je suis là à attendre son retour.

 

Quand, après avoir passé des heures interminables à attendre, j'entends enfin le rire fluté de mon adoroble Maîtresse, Quel bonheur ! Elle me fait encore attendre après son retour surtout si elle refait l’amour avec un amant.

 

Libéré, je baise longuement ses pieds.  Décourbaturé, je cours me vider dans mes WC. Maîtresse aime, le soir, me raconter sa sortie, insistant sur les détails anormaux ou sur les bons moments, aimant me dire : « Ah ! si tu n'étais pas un esclave, attaché dans le placard, tu en profiterais, tu serais mon amant... ».

 

Voilà , notre vie de domination, épanouie et heureuse

 

Par little bear - Publié dans : Histoires Hommes soumis
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